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Un cours particulier inoubliable !

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C’était le mois de juillet, et afin de me mettre à niveau dans mes études, avant d’attaquer la fac, mes parents ont voulu me payer des cours particulier avec un prof individuel.
Je n’étais pas très fan de cette idée car pour moi, juillet et aout sont en général l’occasion de me reposer entre amis et de travailler un peu afin de mettre de l’argent de côté, mais je n’avais malheureusement pas mon mot à dire.

 

Mes parents ont donc pris les devants en contactant une société de cours à domicile, mais si vous savez, les sociétés ou on vous envois des professeurs pas toujours très bon dans leur matière mais qui essaye de la cacher.
Il faut bien avouer, qu’avoir recours à un prof particulier à 19 ans, me donnait un peu la honte vis à vis de mes copines, mais bon, j’ai bien l’intention de leur cacher au maximum.

 

Nous sommes lundi et dans quelques heures mon prof particulier de philosophie va arriver à la maison. La maison n’était que pour moi, mes parents ayant profité de cette période estivale pour s’offrir quelques semaines de congés…

 

Il fait chaud, allongée sur mon lit, je repense à cette matinée qui m’attend.
Bloquée à la maison, avec cette prof qui va arriver, mon esprit s’évade… Dire que mes copines m’avaient donné rendez-vous à la piscine. On devait s’y retrouver à 10 heures. Cette semaine, le maître-nageur fait l’ouverture… Oui, le maître-nageur, le beau brun après qui on court toutes. Enfin non ! Pas toutes. Car Magalie et Aurélie l’ont déjà attrapé. Ou plutôt l’inverse. Une semaine qu’il a commencé, et deux copines ont déjà pu s’affairer avec lui… Mmmm… Vu ce qu’elles nous ont raconté, c’est un pur étalon. Même s’il n’a pas l’air de chercher une relation durable. Quelque part, tant mieux, ça me laisse une chance.
Machinalement, je relève ma jupe et caresse mon string. Je mouille. Je pense à ce qu’il pourrait me faire…
Mais ? La sonnette retentit, mon prof est arrivé…

 

J’ouvre le portillon, remets en place ma jupe et vais l’attendre dans l’entrée. Là je la vois arriver par le carreau de la porte d’entrée. Une jeune femme environ 25 ans, élancée, Bien habillée, elle porte un chemisier blanc, légèrement décolleté et fermé par des boutons, qui sert sa poitrine, une jupe arrivant au-dessus de ses genoux, qu’elle a magnifiques, elle est légèrement fendue sur le côté d’après ce que j’aperçois lorsqu’elle se baissent, en pliant les genoux, pour ramasser ses clefs qu’elle venait de laisser tomber, des chaussures à talons mettant en valeur ses magnifiques jambes, longues et fines. Elle a les cheveux relevés en chinions mais je distingue une longue chevelure. Elle tient dans sa main droite un cartable en cuir noir.
Elle sonne à la porte, j’en ai des palpitations, des sueurs froides. Je jette un coup d’œil rapide à mon reflet dans le miroir situé à droite de la porte. Coup d’œil rapide et machinal sans réfléchir alors que cette jeune femme est à ma porte simplement pour des cours particuliers, qu’ai-je été imaginer? …

 

J’y ouvre. Elle est à peine plus âgée que moi. Bizarre, elle ne doit pas être du coin, je ne la connais pas… Pourtant son visage me dit quelque chose…

 

Mais j’y pense, y a peut-être moyen de négocier… Qui sait, si elle est là pour le fric, on pourrait s’arranger… Elle prend son argent et, moi je vais prendre du bon temps avec le maître-nageur…
Mais, mais, ça serait pas elle qui est partie avec hier soir ?? Oui… Sûre que c’est elle. Je les ai juste vu partir, mais Caro m’a dit qu’elle les avaient vu dans le vestiaire du maitre-nageur. Elle était dégoutée quand elle nous a raconté. Elle y était allée pour le rencontrer, mais quand la porte s’est ouverte, c’était elle. Caro s’est cachée, espérant que cette cochonne reparte avant qu’il arrive. Mais non, elle a attendu le maitre-nageur, et… elle n’a pas froid aux yeux ! A priori, ils se connaissaient pas, mais se sont juste salués. Elle y a de suite baissé le maillot et l’a pris en bouche. Elle n’a fait que le sucer, mais d’après Caro, elle sait y faire. La façon dont elle lui massait les couilles en lui faisant des gorges profondes… Ouah. Une sacrée sal… Il n’a même pas eu le temps de verrouiller la porte. Elle ne l’a pas laissé faire. Elle l’a sucé comme une mort de faim et il n’a pas mis longtemps à jouir… Elle a avalé la première gorgée, puis l’a laissé éjaculer sur son visage…

 

Caro était décomposée quand elle nous a rejoints après qu’ils soient partis à la douche… Elle nous disait qu’on ne pouvait pas rivaliser !

 

Je sens que mon string est tout mouillé. J’espère qu’elle ne m’a pas vu rougir…
Mais son salut glacial me ramène à la réalité :
– Bonjour, Julie S., enchantée de te rencontrer. Puis-je entrer ?
Je bafouille… Son air strict me trouble encore plus :
– Oui, allez y… Moi c’est Nelly. Ça va ? Tu… Euh, vous voulez boire quelque chose ?
- Non merci, je crois que du travail nous attend. Tes parents ont fait appel à moi afin que je te donne des cours de…
Étrangement, Julie commence à bafouiller, sa voie si ferme et son ton si austère venait de s’envoler d’un seul coup, comme si elle venait de se rendre compte d’une chose qui la rende sensible… et je crois bien connaitre cette chose.

 

Toujours un peu coquine, je ne porte jamais de soutien-gorge et je crois bien que mon chemisier blanc laissant apparaitre mes tétons qui pointent ne laisse pas indifférent la jolie Julie.
Je m’approche timidement d’elle, sentant l’ambiance assez pesante, je ne sais pas trop quoi faire. Je ne désire pas faire de gestes qui la dérangent, mais je ne veux pas passer à côté de ce moment où l’ambiance est électrique. C’est décidé, juste un pas et je verrai sa réaction !
Le téléphone de la maison sonne… Je reprends mes esprits. Je viens d’avoir un orgasme… Je suis allongée dans le lit d’une chambre que je ne connais pas. Le radio réveil indique qu’il est 11 heures 50. Je suis nue. Mon compagnon – ma compagne ?- vient de quitter la pièce… Je ne vois pas mes habits, ni mes sous-vêtements, juste un sextoy posé au pied du lit. Il est encore en marche. Que s’est-il passé ??

 

J’entends une voix féminine répondre au téléphone… Ça y est je me souviens. Ce matin, je devais donner un cours particulier. C’était pas la première fois que je donnais des cours de philo, mais, jamais, ça n’avait pris cette tournure, quoi que… Enfin, là, tout a dérapé à mon arrivée, quand elle a ouvert… Elle était bien plus âgée que je ne le pensais. Et je ne sais pas pourquoi, mais son charme ne m’a pas laissé insensible. J’avais déjà eu des expériences avec des copines, mais jamais avec des inconnues…
C’est bizarre comme situation. Pourtant, je suis encore excitée. Et le bruit du vibro n’arrange rien. Je tends la main pour l’attraper. Je suis folle, je sais même pas où je suis et quand je le sens vibrer dans ma main, les vibrations se répercutent dans tout mon corps. Je descends doucement vers ma fourche intime et le pose le bout du sextoy sur mon bouton d’amour qui est encore sensible après cet orgasme. Humm ! C’est bon, avec mon autre main, je caresse mes seins dont les bourgeons sont dressés et je laisse glisser le jouet le long de ma fente qui ruisselle.
J’ai encore envie de jouir ! Le premier orgasme ne m’a pas suffi. Comme dans un rêve le jouet glisse au fond de ma chatte.
Pour savourer les sensations, je ferme les yeux et je me laisse aller au plaisir qui monte une nouvelle fois… jusqu’à ce que je sente une bouche se poser sur la mienne dans un baiser profond. C’est ma belle élève ! Dans un souffle je lui demande de continuer d’autant qu’une de ses mains a rejoint la mienne pour faire coulisser le gode dans ma chatte.
Je suis tombée sans le savoir sur une coquine qui ne me laisse pas indifférente. Puis elle m’enjambe et se place en 69 au-dessus de moi, offrant sa vulve à mes caresses buccales.

 

Alors que ma “prof” est en train d’explorer mon intimité, je réalise comme cette matinée a dégénérée. Au départ, je voulais juste nous venger… Je ne sais pas ce qui m’a traversé l’esprit, ni où jusqu’où je voulais aller. En tout cas je ne m’imaginais pas en train d’explorer son intimité avec ma bouche. Dire que je n’ai jamais pris de queue en bouche.

 

Quand je me suis approchée pour l’embrasser, elle s’est laissé faire. On s’est rapidement enlacées. Elle me caressait les seins, les fesses. Je pense que ce n’était pas sa première fois. Je l’ai alors entrainée dans le bureau de mon père. Finalement, c’est agréable d’embrasser une fille. Rapidement, elle a défait mon chemisier et pris mes seins en bouche. J’avais vite compris qu’ils lui faisaient envie. Elle me léchait, me caressais les seins… C’était si bon, si doux. Je sentais que mon entrejambe s’humidifiait… Voulant garder le contrôle, je lui ai rendu la pareille, je ne l’avais jamais fait, mais que c’est bon de lécher et caresser les seins.
Rapidement, nos jupes sont devenues gênantes. Une fois nues, Julie en a profité pour doigter et lécher mon intimité. C’était la première fois qu’une fille me faisait ça. Elle était si douce, c’était si bon. J’ai failli m’abandonner. Mais c’était moi qui devais la baiser. J’ai donc attrapé le gode de ma mère que mon père cache dans son bureau et le lui ai introduit dans la chatte, sans aucun autre préliminaire. D’abord surprise, elle m’a laissé l’explorer avec le godemiché. Quelle sensation de posséder une fille.

 

…Mais quelques temps plus tard, quand j’ai émergé de mon orgasme et que j’ai commencé à me caresser à nouveau, c’est elle qui a entrepris de me baiser avec ce beau gode que j’avais découvert. Comment était-il arrivé là, dans cette chambre qui m’était inconnue ? Ce n’est que beaucoup plus tard que j’ai su ce qui s’était passé après que Nelly m’ait un peu raconté. Bref, j’étais dans sa chambre ! Après nos premiers baisers elle m’y avait entrainé :
- Viens chez moi ! Nous serons plus tranquilles.

 

Et elle m’y avait fait l’amour, me procurant un orgasme démentiel comme je n’en avais jamais ressenti avec un garçon. En moi-même je m’interrogeais : Me suis-je fourvoyée avec les garçons ? Suis-je lesbienne ? Je me posais tout un tas de questions sur ma sexualité… Etais-je prête à assumer une aventure lesbienne avec ma belle prof’ alors que jusqu’à présent l’idée même de faire l’amour avec une autre fille ne m’avait pas effleuré un seul instant : les garçons (peu nombreux encore) me suffisaient.

 

Mais je suis rapidement revenue à la réalité : J’étais allongée dans la chambre de ma prof’ où après avoir éprouvé un orgasme d’enfer, je me livrais à elle qui mangeait ma chatte alors que j’en faisais autant avec la sienne. D’une main elle agitait en moi ce sexe factice qui me faisait ruisseler de plaisir. Puis nous nous sommes désunies.

 

Nelly est allée chercher sous son traversin un gode à double tête qu’elle a glissé au fond de ma chatte et, glissant une jambe sous ma cuisse, elle s’est empalée sur l’autre extrémité du jouet. Nous étions imbriquées l’une dans l’autre et rapidement nous avons commencé à nous agiter pour faire coulisser le gode dans notre chatte. Nous étions tellement excitées que notre jouissance est arrivée, brutalement, au moment où nous ne nous y attendions pas. Un nouvel orgasme simultané nous a emportées dans des rugissements de plaisir.

 

Un bruit de clefs dans la serrure nous fait jaillir du lit. Je crois reconnaitre la voie de mon père, c’est impossible, il devait prendre l’avion avec ma mère ce matin même. J’ai ramassé mes vêtements à toute allure et Nelly m’a guidée vers la seconde chambre de son appartement où je me suis dissimulée…

 

Ensuite, les bruits ont été très explicites, j’ai entendu la voix forte de mon père dire à Nelly :
- Coquine, tu m’attendais déjà prête dans cette tenue pour le moins déshabillée !
- Oh oui mon amour ! Je t’attendais ! J’ai faim d’une belle bite pour me remplir bien à fond.

 

Je comprenais mieux comment mon père avait trouvé Nelly pour me donner des cours ! C’était sa maîtresse. Ce n’était pas un secret pour moi : je savais que mon père multipliait les conquêtes féminines, aussi bien dans son entreprise qu’en dehors mais là, me mettre en contact avec sa maitresse en titre, il avait fait fort !

 

Ce n’est que deux heures plus tard que je suis enfin sortie de ma cachette lorsque Nelly a été seule. Cette coquine a plaisanté en disant que je n’aurais jamais imaginé qu’elle et mon père baisaient ensemble.

 

- Ne t’inquiète pas, mon père est un chaud lapin mais toi, tu m’as fait découvrir que j’aimais faire l’amour avec une femme. Je t’en remercie ! C’est très jouissif.
Là-dessus, je l’ai quittée pour rentrer chez mes parents… J’espère que cette première expérience en entrainera d’autres.

 

Auteurs dans l’ordre de rédaction : Slash, Gendy, Matou et Laurent.

 

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